De formation ingénieur numéricien en mécanique des fluides, j’ai su compléter mon profil au travers de formations universitaires (2e master), de pratique sur le terrain encadré par des experts (expérimental) et en autonomie (entreprenariat, levée de fonds). Egalement, la veille scientifique et technologique inhérente au métier de scientifique ouvre le champs des savoirs et compétences.

Concernant mes propres travaux, un regard critique permanent est essentiel pour se confronter soi-même lorsque l’on innove, d’autant plus dans un secteur aussi réglementé que celui de la santé. J’ai également été très demandeur d’opportunité de management développer ma capacité d’évaluer des personnalités diverses. Enfin, enseigner et évaluer forment un tout, et c’est une activité que j’apprécie particulièrement.

Le travail de doctorat nécessite une gestion de l’information et de la connaissance pointue, notamment par la nécessité de rassembler, synthétiser, intégrer et transmettre des connaissances de pointe. Aussi, porter seul un projet de DM comme j’ai pu le faire nécessite d’appréhender une variété d’informations essentielles provenant d’horizons aussi variés que peuvent être la littérature scientifique, l’expertise technique, l’analyse du marché, le contexte réglementaire, …

Le travail de recherche scientifique inclue une maitrise importante de la connaissance et des savoirs faire de son domaine d’expertise. Pour moi, le manuscrit de thèse retranscrit totalement cette compétence. J’ai écrit ce manuscrit avec pour objectif de proposer aux futurs étudiants ce que j’aurai aimé trouvé à mon arrivée sur le projet, en détaillant précisement, et de façon sourcée, l’état de l’art dans le domaine ainsi qu’une présentation précise des méthodes mises en oeuvre pour faire émerger de nouvelles connaissances.